J'ai pu assister au dernier cercle de lecture de l'année organisé par ma libraire. Cette fois, nous devions lire "Liaisons étrangères", d'Alison Lurie, paru chez Rivages poche.
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Auteur : Alison Lurie
Traducteur : Sophie Mayoux
Genre : récit
Traducteur : Sophie Mayoux
Genre : récit
Editeur : Rivages poche
Parution : 1997 / 425 pages
ISBN : 978-2743601584
Ce qu'en dit l'éditeur : Pour des anglicistes américains, un congé d'études à Londres loin de la "barbarie" américaine, c'est le rêve. Deux professeurs de collège en Nouvelle-Angleterre vont le réaliser. Fred Turner, beau jeune homme plein d'amertume, part pour le pays de Shakespeare accompagné d'une petite dame ingrate et revêche : Vinnie Miner. Tous deux tireront de ce séjour au milieu des autres le même bénéfice : une meilleure connaissance de soi au travers d'une trépidante traversée des apparences et d'un rêve réalisé autrement qu'il semblait.
Dans ce roman tout en nuances et pétulant d'intelligence, Alison Lurie décrit toute l'ambiguïté des attitudes américaines vis-à-vis de l'Angleterre. Connivence feinte, hypocrisie, fascination réciproque ou rejet mutuel, complexe d'infériorité ou de supériorité. Tous ces sentiments conflictuels ne cessent de se croiser et font de ce livre un grand bonheur de lecture.
Alison Lurie a reçu pour ce livre le Prix Pulitzer en 1983.
Avis : Je pensais, en ayant lu la 4ème de couverture, que j'allais adorer ce roman qui traite, entre autres, d'un thème qui m'est cher (les différences culturelles qu'un expatrié peut découvrir dans son pays d'accueil). Ce thème est effectivement traité, mais n'est qu'une faible facette de l'histoire.
L'accent est plus mis, je trouve, sur les évolutions des protagonistes tout au long de leur séjour.
J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans le livre (plus de la moitié), le rythme étant trop lent pour moi..
ISBN : 978-2743601584
Ce qu'en dit l'éditeur : Pour des anglicistes américains, un congé d'études à Londres loin de la "barbarie" américaine, c'est le rêve. Deux professeurs de collège en Nouvelle-Angleterre vont le réaliser. Fred Turner, beau jeune homme plein d'amertume, part pour le pays de Shakespeare accompagné d'une petite dame ingrate et revêche : Vinnie Miner. Tous deux tireront de ce séjour au milieu des autres le même bénéfice : une meilleure connaissance de soi au travers d'une trépidante traversée des apparences et d'un rêve réalisé autrement qu'il semblait.
Dans ce roman tout en nuances et pétulant d'intelligence, Alison Lurie décrit toute l'ambiguïté des attitudes américaines vis-à-vis de l'Angleterre. Connivence feinte, hypocrisie, fascination réciproque ou rejet mutuel, complexe d'infériorité ou de supériorité. Tous ces sentiments conflictuels ne cessent de se croiser et font de ce livre un grand bonheur de lecture.
Alison Lurie a reçu pour ce livre le Prix Pulitzer en 1983.
Avis : Je pensais, en ayant lu la 4ème de couverture, que j'allais adorer ce roman qui traite, entre autres, d'un thème qui m'est cher (les différences culturelles qu'un expatrié peut découvrir dans son pays d'accueil). Ce thème est effectivement traité, mais n'est qu'une faible facette de l'histoire.
L'accent est plus mis, je trouve, sur les évolutions des protagonistes tout au long de leur séjour.
J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans le livre (plus de la moitié), le rythme étant trop lent pour moi..
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