Le club de lecture ayant repris, voici la nouvelle lecture conseillée par ma libraire, "Le dimanche des mères", de Graham Swift.
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Auteur : Graham Swift
Traducteur : Marie-Odile Fortier-Masek
Genre : Récit
Traducteur : Marie-Odile Fortier-Masek
Genre : Récit
Éditeur : Gallimard
Parution : 2017 / 144 pages
ISBN : 978-2070178711
Avis : J'ai été très surprise par le style de l'auteur et c'est ce qui m'a marqué dans ce livre. Un rythme très lent, très répétitif. Graham Swift joue sur les répétitions (parfois, trois fois le même mot dans la même phrase, etc.)
Il y a peu d'actions, ou plutôt, c'est écrit de manière à ce que cela ne soit pas le fil du livre.
Ce dimanche ne semble jamais se terminer
Un livre à lire lorsqu'on veut prendre le temps et savourer ces heures qui s'égrènent.
ISBN : 978-2070178711
Ce qu'en dit l'éditeur : Angleterre, 30 mars 1924. Comme chaque année, les aristocrates donnent
congé à leurs domestiques pour qu'ils aillent rendre visite à leur mère
le temps d'un dimanche. Jane, la jeune femme de chambre des Niven, est
orpheline et se trouve donc désoeuvrée. Va-t-elle passer la journée à
lire ? Va-t-elle parcourir la campagne à bicyclette en cette magnifique
journée ? Jusqu'à ce que Paul Sheringham, un jeune homme de bonne
famille et son amant de longue date, lui propose de le retrouver dans sa
demeure désertée. Tous deux goûtent pour la dernière fois à leurs
rendez-vous secrets, car Paul doit épouser la riche héritière Emma
Hobday. Pour la première - et dernière - fois, Jane découvre la chambre
de son amant ainsi que le reste de la maison. Elle la parcourt, nue,
tandis que Paul part rejoindre sa fiancée. Ce dimanche des mères 1924
changera à jamais le cours de sa vie.
Graham Swift dépeint avec sensualité et subtilité une aristocratie déclinante, qui porte les stigmates de la Première Guerre - les fils ont disparu, les voitures ont remplacé les chevaux, la domesticité s'est réduite... Il parvient à insuffler à ce court roman une rare intensité, et célèbre le plaisir de la lecture et l'art de l'écriture.
Graham Swift dépeint avec sensualité et subtilité une aristocratie déclinante, qui porte les stigmates de la Première Guerre - les fils ont disparu, les voitures ont remplacé les chevaux, la domesticité s'est réduite... Il parvient à insuffler à ce court roman une rare intensité, et célèbre le plaisir de la lecture et l'art de l'écriture.
Avis : J'ai été très surprise par le style de l'auteur et c'est ce qui m'a marqué dans ce livre. Un rythme très lent, très répétitif. Graham Swift joue sur les répétitions (parfois, trois fois le même mot dans la même phrase, etc.)
Il y a peu d'actions, ou plutôt, c'est écrit de manière à ce que cela ne soit pas le fil du livre.
Ce dimanche ne semble jamais se terminer
Un livre à lire lorsqu'on veut prendre le temps et savourer ces heures qui s'égrènent.
Un livre qui a l'air vraiment sympathique. La couverture est belle, elle donne effectivement un sentiment de lenteur mais aussi de douceur. Quant au contexte historique, il a tout pour me séduire même si ce n'est pas le centre du propos, visiblement.
RépondreSupprimerEffectivement, le contexte historique ne sert que de décor.
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