Le club de lecture a repris du service. Cette fois, ma libraire nous a fait découvrir l'Estonien Andrus Kivirähk avec son livre "L'homme qui savait la langue des serpents".
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Auteur : Andrus Kivirähk
Traducteur : Jean-Pierre Minaudier
Genre : Conte
Traducteur : Jean-Pierre Minaudier
Genre : Conte
Editeur : Le Tripode Editions
Parution : 2015 / 470 pages
ISBN : 978-2845639171
Avis : En commençant la lecture, je me suis demandé ce que nous avait choisi notre libraire et animatrice du club de lecture. La couverture est étrange à mon goût. Les premières aventures également.
Une fois intégré le fait qu'il s'agit d'un conte, les aventures rocambolesques ne m'ont plus étonnée.
Tout au long du livre, nous assistons à la fin d'une civilisation entrainant de multiples réflexions amenées par les divers évènements auxquels est confronté le dernier homme. Les hommes "modernes" du village le perçoivent comme un sauvage alors que lui-même n'en revient pas de leur bêtise...
Il assiste avec désarroi à la mort de sa religion pour l'apparition d'une nouvelle où seuls changent les noms.
Ce livre se lit très bien et pousse à la réflexion. La postface du traducteur est très intéressante et peut apporter un nouvel éclairage sur la lecture.
ISBN : 978-2845639171
Ce qu'en dit l'éditeur : Une fresque inspirée des sagas scandinaves, se déroulant à une époque
médiévale réinventée et mettant en scène des personnages atypiques : le
dernier homme connaissant la langue des serpents qui voit le monde de
ses ancêtres disparaître, sa sœur amoureuse d'un ours, une paysanne qui
rêve d'un loup-garou, des australopithèques éleveurs de poux...
Grand prix de l'imaginaire 2014.
Grand prix de l'imaginaire 2014.
Avis : En commençant la lecture, je me suis demandé ce que nous avait choisi notre libraire et animatrice du club de lecture. La couverture est étrange à mon goût. Les premières aventures également.
Une fois intégré le fait qu'il s'agit d'un conte, les aventures rocambolesques ne m'ont plus étonnée.
Tout au long du livre, nous assistons à la fin d'une civilisation entrainant de multiples réflexions amenées par les divers évènements auxquels est confronté le dernier homme. Les hommes "modernes" du village le perçoivent comme un sauvage alors que lui-même n'en revient pas de leur bêtise...
Il assiste avec désarroi à la mort de sa religion pour l'apparition d'une nouvelle où seuls changent les noms.
Ce livre se lit très bien et pousse à la réflexion. La postface du traducteur est très intéressante et peut apporter un nouvel éclairage sur la lecture.
Ce pourrait être ma came, ce genre de lecture! Je l'ajoute dans ma wishlist :-)
RépondreSupprimerLorsque tu l'aurais lu, il faudra que tu me dises ce que tu en as pensé !
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