mardi 29 novembre 2016

"Lydia Cassat lisant le journal du matin" d'Harriet Scott Chessman

Les mois passent et "Lydia Cassat lisant le journal du matin" d'Harriet Scott Chessman, paru chez Folio, est le nouveau livre proposé par ma libraire dans le cadre du cercle de lecture.

Cet article participe au thème de novembre du Dounia-Joy's book club : "Un livre de votre auteur préféré(e)".  N'ayant pas d'auteur préféré, j'ai décidé de vous faire découvrir un auteur que je n'avais jamais lu auparavant et dont j'ai apprécié l'ouvrage.



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Titre : "Lydia Cassat lisant le journal du matin"
Auteur : Harriet Scott Chessman
Traducteur : Mirèse Akar
Genre : Récit, biographie
Editeur : Folio
Parution : 2009 / 240 pages
ISBN : 978-2070359882


Ce qu'en dit l'éditeur : Paris, 1878 : les Impressionnistes s'exposent. Parmi eux, Mary Cassatt, une impétueuse peintre américaine, est remarquée par la critique pour ses nuances délicates. Au cœur de son travail, sa sœur Lydia. Cette jeune femme, dont le teint clair et les cheveux auburn illuminent les tableaux de Mary, est la narratrice du roman intimiste de Harriet Scott Chessman. Nous la suivons dans ses pensées, tandis que sa santé décline inexorablement et que s'élaborent les plus célèbres œuvres de sa sœur... Voyage poignant au cœur d'une relation complexe, celle d'un peintre à son modèle, Lydia Cassatt lisant le journal du matin est aussi l'évocation de femmes éprises d'indépendance, dans l'effervescence artistique du Paris de la fin du XIXe siècle.


Avis : Lorsque j'ai découvert le livre proposé par ma libraire, j'étais intriguée, me demandant si j'en apprécierais la lecture.
La manière dont le sujet est traité la rend fluide et agréable.
Le livre retrace la vie de Lydia Cassat, de 1878 à 1881 (elle est morte en 1882) et est découpé en cinq parties. Chacune correspond à un tableau que la sœur de la narratrice a peint en se servant d'elle comme modèle.
Quelques feuilles en couleur sont insérées et nous proposent les cinq tableaux. Ainsi, tout en lisant leur création, nous pouvons les admirer.

L'ensemble, même si Lydia Cassat est malade, est léger, lumineux, tout comme les touches de peinture des toiles.
Une lecture douce.



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